Malgré quelques nouvelles téléphoniques rassurantes de la part de nos amis et collaborateurs centrafricains, nous sommes inquiets pour eux et les populations.
En effet, les forces opposées se font face à quelques kilomètres d'Imohoro, chacun restant sur sa position en attendant les pourparlers de Libreville prévus à partir du 08 janvier.
Ce pays déjà en grandes difficultés n'a pas besoin de nouveaux troubles.
Les craintes des populations de nos secteurs d'activité ont fait fuir les villageois soit en brousse soit sur la capitale Bangui.
Notre rôle là-bas est d'apporter notre soutien humanitaire quelque soit le gouvernement.
Nous espérons simplement pouvoir reprendre nos actions dès que la sécurité sera revenue.
Ne baissons pas les bras, et préparons nous dès maintenant, avec votre aide, à la poursuite de nos projets.
